Ce mois-ci c'est moi qui proposerais le thème de ce concours de nouvelles, et j'espère que cette fois nous serons plus de deux à participer.
Je choisirais un thème vaste pour et assez simple pour mettre tout le monde sur un pied d'égalité.
Le thème sera : le syndrome de renfield

Voici ma modeste contribution

France, dans une petite ville de Haute Savoie.

A minuit je sortais par la fenêtre de ma chambre pour me diriger vers le cimetière de mon village.
Arrivé devant le portail que j’escaladai.
Je restai figé, comme chaque foi, devant la magnifique architecture des tombes.

Je marchais au milieu de toute ses rangé de sépulture, pour enfin arriver devant la plus belle de toute !
Un magnifique mausolée gothique.
La porte de la tombe était ouverte.
Je poussai la porte curieux de voir à quoi ressemblai la tombe.

A ma grande surprise la tombe qui était devant moi avait son couvercle brisé, un trou béant au niveau de la tête laissai apparaitre le squelette du mort, je m’approchais pour voir de plus près à quoi il ressemblait quand un rat sortie de la tombe me faisan sursauter et tomber en arrière. Mon bras droit heurta une pierre.
Je me relevais en dépoussièrent mes vêtements puis ressorti du mausolée pour rentrer chez moi.

Sur la route je sentis quelque chose couler le long de mon bras, je saignais. Je m’étais probablement coupé en tombant au cimetière.
Mon bras était maculé de mon sang et quelques goutes perlait encore, alors, par reflexe, je porta la plaie à ma bouche et suça le sang qui s'en écoulait. Le liquide toucha mes papilles et glissa dans ma gorge. A ce moment là, un étrange frisson me parcourut l’échine, une sensation de bien être intense.

Une fois chez moi je passa un peu d’eau sur la plaie pour bien la nettoyer du sang et retourna discrètement dans ma chambre.

Le lendemain, je passais la journée à me demander ce qui avait bien pu me procurer une tel sensation. Est-ce que cela était dû au splendide paysage que m’avait offert le cimetière éclairé par la sépulcral de la pleine lune ? ou bien cela était il dû à mon propre sang ?
Serais-je devenu fou ?

Bien que je n’eu aucun ami au Lycée, ma petite sœur me suivait partout où j’allais. Elle disait aimé être avec moi, être la seul à me comprendre et à m'aimer, pourtant je ne faisais pas vraiment attention à cette fille. Malgré cela, elle restait ma sœur et je l’aimais. Je me souvient d'un jour où elle m’avait offert une photo d’elle en me disant que comme ça je ne serais jamais seul, je gardais cette photos sur moi en permanence.

Il ne restait plus que deux semaines avent les prochaines vacances, enfin j’allais pouvoir rester tranquille. Personne pour ce foutre de ma gueule, je serais seul. L’unique problème qui subsistai, et malheureusement pas des moindres, c’était mes parents, mes géniteurs, ils m’avait conçu mais n’avait aucune affection pour moi, mon père était un ivrogne qui passait son temps à hurler sur sa femme, à la cogner et à frapper sur son fils.
J’aurais donné chaire pour l’étriper de mes mains.

_Sam, espèce de petit con, arrête cette musique de merde tout de suite descend !

Je descendais et comme chaque fois, il me frappait.

Je ne parlais presque jamais et restais toujours dans mon coins, un peu à l’écart des autres.

_Pourquoi tu ne t’approche pas de nous Sam ? demandai ma mère.
Tu es trop supérieur à nous peut être ? Tu ne veux pas perdre ton temps à manger avec des pauvres comme nous c’est ça ? petit con !

Alors mon père reprenait.

_T’es qu’une sous merde, tu sert vraiment à rien.

Parfois ma soeur voulait prendre ma défence,

_Mais arrêtez bordel ! Il vous a rien fait, il demande seulement à rester seul et à ce qu’on lui foute la paix.

Puis elle se levait de sa chaise et partait dans sa chambre en pleurant.

Une nuit, alors que je rentrais en douce après être allé à un petit concert avec ma sœur, je m’écorchais un doigt en escaladant pour rentrer par la fenêtre de ma chambre. Quelques goutes de sang se mirent à couler et comme l’autre soir dans le mausolée, je portais la blessure à ma bouche et en suçais le sang. Et comme l’autre fois, un frisson me parcouru l’échine, seulement, cette fois-ci, une nouvelle sensation m’envahi. Un bien être absolu, une extase, un froid Legé et agréable parcouru tout mon corps, mes pupilles ce dilatèrent, et j’étais vraiment bien.
Je retirais aussi sec le doigt de ma bouche, à la fois effrayé par cette nouvelle sensation et à la fois stupéfaits de l’effet que pouvais avoir mon sang sur moi.

Je ne pense pas que j’eusse été fou mais je venais de faire une découverte qui allait très certainement changer ma vie.

Le temps passait et je devenais accro au sang, ce que j'éprouvais après chaques gorgé de se breuvage étaient tellement fabulleuse. Mais bientôt mon propre sang ne suffisait plus, il me fallait autre chose. Bientôt je m'attaquais aux insectes, chaques vie que j'ingérais me donnais l'impression de renaître, mais je me lassais rapidement de ces petits être pour m'attaquer à plus gros, des chats, parfois des chiens.

Un jour, alors que je venais d'envoyer un élève à l'hopital après l'avoir frapper jusqu'a ce que je n'eu plus la force de soulever mes bras, on m'evoya chez mon principale qui, bin sur me renvoya définitivement, et m'intima d'allé voir un psychiatre. Si j'accepeta cette demande, ce n'est pas parce que mon principale m'en avais donné l'ordre, mais parce que ma soeur m'avait suplié de le faire.
Je pris donc rendez-vous, il eu lieu quelques jours plus tard.
Durant la scéance, un homme d'à peus près 50 ans, les cheuveux blanc et le crâne dégarni, me posa des questions sur moi, sur ma vie, mon enfance, il me demanda si je m'entandais avec mes parents.
Mais mon attention ce portais sur une seul chose. Une chose que mes yeux ne lachèrent pas une seul seconde. J'étais fixé sur sa jugulaire. Je voyais la veine battre au rythme du coeur, et elle me paraissait anormalement grosse.
Alors que je ne pouvais me retenir plus longtemps, je me levais de ma chaise sans dire mot, et toujours en silence, j'approchais du burreau où je pris un coupe papier, le psy était éffrayer, il m'ordonna en vain d'arrêter. Je brandis l'arme au dessus de ma tête, et dans un geste violant, je la lui planta par trois fois dans la gorge avant de boir le sang qui s'écoulait à flot.

Voilà, ce texte est en réalité un "résumer" d'un compte que je suis entrain d'écrire. Je n'ai bien sur pas dévoilé la fin de l'histoire complète, et est modifier quelques passages.

que de phrases longues!!!!!!  halala!!!  bon je vais lire sa (dopier coller sur word parce que la j'ai mal aux neuneuille lol

Oui désolé pour la taille que j'ai fais très petite mais j'y étais obliger sinon ça aurais pris trop de place >_<

Courage mon ami, je vais essayer de poster ma réponse à ce sujet le plus vite possible.
Tu n'es pas seul!

ben j'ai lu sa ma l'air très bien ^^ j'aime bien, après c'ets l'avis de chacun mais tes phrases sont très longues..autrement rien n'a dire ^^

oui je sais, j'ai écris ce roman dans un nouveaux style d'écriture (oui parce que j'avais déjà écrit un roman il y a quelques temps)
Un style peut être assez proche de celui Lovecraft pour ces très longue phrases, mais surtout un style très basé sur la description et le ressenti des personnages, en insistant sur leurs sentiments en leur donnant un côté très sombre, d'où également les phrases très longue qui accentue ce phénomène =)

En tous cas je suis content que tu ai aimé l'histoire =)

ya pas de quoi^^

ouai si j'ai le temps je m'y met, mais entre les partiels et un scénario de court métrage à finir....ça fait pas mal de boulot^^

Aller une nouvelle c'est vite écrit ;-)

Mouai....mais là le sujet ne m'inspire que moyennement.
Je vais quand même essayer de pondre un petit truc.

A ton bon vouloir mon ami !

Sympa Lord Raven ton écrit!
Le truc perso, c'est que le sujet ne m'inspire pas du tout!
Je vais creuser un peu plus^^
Peut être même, faire ça comme un petit défi perso, vais voir... déjà, je me motive, ça va^^

Houps, Unki... nous avons eut la même idée^^

et oui le plus dur dans l'écriture c'est de ce motivé ^^

lord_raven a écrit:

et oui le plus dur dans l'écriture c'est de ce motivé ^^

Je dirais plutôt qu'il faut être d'abord inspiré, ça facilité bien quand même^^
Aprés, c'est plus pour m'amuser et me tester, comme ici^^

Oui c'est vrais que sans inspiration, même si le sujet nous plait au plus au point, on arrive à rien ^^

Jolie histoire, j'aime la façon dont c'est raconté =) pour quelqu'un qui n'était pas inspiré je trouve ça plutôt bien ^_^

Merci à toi, c'est gentil^^

Je l'ai posté sans le relire... j'ai rectifié une phrase, elle était décalée... Pas compris... !! M'enfin, c'est pas grave !
Pour l'inspiration... un déclic tout simplement ! Mais l'envie d'écrire est une chose qui me plait beaucoup, alors... aprés c'est pas trés dur, petit plaisir perso^^

ben je dis chapeau lilicry ^^  j'aime bien moi 

Merci ma p'tite puce ^^

Lilicry je trouve ça plutôt pas mal pour une impro, si en plus tu prends plaisir à écrire c'est bien là ce qui compte le plus.
Même si le sujet ne m'inspire pas spécialement, les textes écris sont asez sympathique, j'aime bien

L'écriture est, pour moi en tous cas, l'un des meilleurs et des plus beaux échappatoire qui existe, grâce à elle on peut devenir tout ce que l'on veux et vivre les plus belle histoire, enfin peux véritablement réaliser tout nos rêves, c'est une raison qui fais que j'adore écrire également

c'est beau ce que tu viens de dire (fan ) lol

youhou j'ai une fan !!! tu veux un autographe ??? =D
*partie se cacher*

Chacun sa façon de s'exprimer et de faire sortir ce qu'on a à l'intérieur, le tout est encore de la trouver content que tu es trouvé la tienne, j'attends de lire d'autres nouvelles, je suis curieux.

moi ce que j'écris je le garde pour moi..rien que de relire mes 48 pages Word qui retracent ma vie..sa fait chialer....OUI UN AUTOGRAPHE => je sors et moi c'est plus une autobiographie que je fais...hiihi..=>ressort 

*signe un autographe pour yourangel*
Ma première fan *_*

fait attention tu as les yeux qui brillent (merlan fri ><) => je sors

Je suis fan de ma première fan ... casses tête que tout cela,
Le topic par en live un peu quand même ^^
Bon je vais manger cela limitera un peu le bêtise qui sont dite XD

Dinendal, MERCI ! Quand tu parles d'impro, c'est le bon mot^^
J'écris depuis toujours et comme le dit si bien Lord Raven c'est un "échappatoire" pour moi aussi : Bravo^^
C'est également un exutoire, car cela me permet de laisser s'exprimer diverses facettes et mondes intérieurs ! Cela rejoint ce que tu dis !

l'écriture, c'est magique !!

   jolie!!

Lord Sayannel, j'aime bien l'idée d'écritures mémoires, journal intime... ça change un peu ! Super ^^ j'ai appréçié !

Ravi que cela t'ait plu!

" Ils me poursuivent. Tous autour des moi, me dévisageant de leurs yeux qui ne sont que noirceur profonde, sans âmes.
Je les croise tout les jours, dans la rue, devant mon immeuble. Ils me surveille, attendant l'heure où je relâcherais mon attention, où je deviendrais négligent.

Qu'ils attendent!! Cette heure ne viendra jamais!!

Je sais ce qu'ils me veulent, ce qu'ils me reprochent secrètement. Je devine leurs intentions derrière leurs visages impassibles, les sourires de circonstances, les faux-semblants.
Mais je ne suis pas dupe. J'ai depuis longtemps remarqué les incohérences dans leur jeu, la mauvaise facture de leurs masques. Des visages de cires, froids, implacables.

Ils sont tous empoisonnés, contaminés!! Devenus de simples pantins guidés par le Grand Marionnettiste Omnipotent à travers leurs vies misérables.
Et je suis, maintenant, le dernier être humain doué de conscience...

Je ne saurais dire exactement quand tout cela à commencé, à quel moment les gens ont arrêté de rire, d'avoir des paroles cohérentes. A quel moment la chaleur de leurs yeux s'est éteinte pour laisser place au néant.
La première fois que j'en ai croisé un, c'était en allant chercher mon fils à l'école. Rien de plus banal que d'aller récupérer son bambin par une belle journée d'été, le coeur insouciant.
Si j'avais su, pauvre fou que j'étais, que je vivais mes derniers instants de bonheur, j'aurais pris le temps de chérir les rayons de soleil sur mon visage, la caresse du vent sur ma peau....autant de plaisirs qui me paraissent fades maintenant que je n'ai personne avec qui les partager.
La maîtresse d'école ne m'a pas adressé la parole lorsque j'ai pris Max par la main. Chose étrange pour cette vieille dame débonnaire qui avait pour habitude de m'entretenir de sa vieille chatte pendant le quart d'heure réglementaire. Par convention sociale, plus que par réel soucis, je m'enquerrais de son moral.
Elle ne répondit pas à ma question et ce n'est que lors que je remarquais l'absence d'âme au fond de ses yeux.
La croyant devenue sénile, je décidais en mon fort intérieur de retirer Max de cette école dès le lendemain. Bien m'en a pris car la vérité était tout autre.

Le poison coulait déjà dans ses veines. Et il ne faudrait que peu de temps avant qu'il ne se répande, comme je ne tardais pas à le remarquer.
L'affection se répandit insidieusement parmi la population. Les maux étaient tellement discret que l'on n'en parlait même pas aux journaux télévisés. Et lorsque j'évoquais ce sujet de conversation avec mes proches, l'on me rétorquais que je me faisais des idées. A vrai dire, cela été devenu une telle obsession que ma femme fini par m'interdire d'aborder le sujet.
Ce fut le premier indice de sa contamination.

Je restais attentif à ses actes, ses paroles pour essayer de déceler à quel stade de la maladie elle pouvait en être. Tout allais bien...pourtant cela me m'étais mal à l'aise et me poussa à croire que tout allais mal au contraire.
La suite me donna raison.
Excédé par ces comportements amorphes que j'observais quotidiennement, je ne trouvais comme solution, pour faire réagir ma femme, que de la frapper. Un acte que je ne me serais jamais résolu à effectuer en temps normal. J'agissais, cependant, pour son bien dans ce cas de figure.
C'était un samedi midi. Elle venait d'aller faire les courses, comme tout les samedi midi en bonne marionnette qu'elle était. La voir, tout sourire, rangeant le fruit de ses achats hebdomadaire, me mis hors de moi. Je me jetais sur elle, lui arrachant son sac des mains, répendant le contenu au sol.
Elle me regarda curieusement, son sourire toujours figé sur les lèvres. Son putain de sourire que je lui fis ravaler à grand coups de poing. Un brouillard rouge m'obscurcissait la vue tandis que j'abattais inlassablement mon poing sur son visage déjà tuméfié. Je la sentais gémissante et tremblante alors que mes phalanges écrasaient son nez en un craquement sec et que du sang, une fontaine de sang, en surgissait en un geyser uniforme.
Lorsque ma fureur s'apaisa, elle était immobile à mes pieds. Une flaque de sang poisseux lui faisait une couronne. Je levais ma main rougie par le liquide visqueux et, sans connaître la portée de mon geste, la léchait, allant même à me sucer les doigts comme pour déguster les restes succulents d'un bon plat en sauce.

Cet épisode m'ouvrit les yeux sur la maladie qui frappait le monde et sur le rôle qui m'incombait dans la mascarade qui se jouait dehors.
C'était l'apocalypse et j'étais le Messie qui devait ramener les ouailles sur le droit chemin, couper les fils du Marionnettiste Omnipotent.
Tout comme le Christ l'avais fait avec ses disciples, je me devais de partager mon sang avec eux. Voilà pourquoi je n'étais pas contaminer!! Mon sang étais la réponse!!
Le sang du Messie.

Ma mission était sacrée et il était hors de question que je laisse qui que ce soit m'en écarter. Je savais que le Marionnettiste placerait des obstacles sur ma route. Qu'il userait de ses tours pour tourner mes frères humains contre moi. Mais je me battrais quoi qu'il en coûte.
Je me doutais que je ne pourrais pas sauver tout le monde, le Christ lui-même n'avais pu le faire. Mais je n'étais pas aussi faible que lui....je n'aurai jamais laisser vivre Judas. Il faut savoir être pragmatique lorsqu'on doit guider un peuple vers l'illumination.
Qui aurait crû que mon Judas serait mon propre fils. Rendu fou par la maladie il avait, en voyant sa mère au sol, pris le téléphone et prévenu les sbires du Marionnettiste.
Quelle ne fût ma tristesse en le voyant me planter ce poignard dans le dos. Je tentais de l'empêcher de commettre son méfait mais le mal étais déjà fait. C'est le coeur serré et la gorge tremblante que je mis fin à la vie de ce simulacre d'enfant qui fût autrefois mon fils. Son crâne explosa comme un fruit trop mûr entre mes mains et sa cervelle était bien trop bonne pour être celle d'un humain.

A l'instant où je couche ces lignes, le premier chapitre de mon évangile, les agents du Marionnettiste doivent être en chemin.
Je serais implacable et ne sauverais que ceux qui le mérite. Ceux là pourrons boire le divin liquide qui s'écoule de mes veines. Les autres nous servirons de calice tandis que nous boirons à la coupe de leurs nuques tranchées. "

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-"Mais c'...c'est horrible!!"

La femme reposa sa tasse de café en un geste fébrile. Pâle, elle porta la main à sa bouche pour étouffer un sanglot.

-"Et...et tout ça est vrai?! Je veux dire...il a vraiment...tué son gosse??!...sa...sa femme?!"

Le jeune infirmier qui se trouvait en face d'elle ferma le carnet relié de cuir et le posa sur la table. Il la regarda, un sourire au lèvre, content de l'effet qu'il avait produit.

-"Oui, il l'a vraiment fait. J'ai un pote pompier qui était sur l'intervention et il m'a raconté tout les détails. Tout ce qui est écrit ici est vrai....jusqu'au cannibalisme. Les flics ont dû s'y mettre à 5 pour le maîtriser et il en a mordu un au visage...il lui a arracher la paupière et....il l'a mangée!!"

L'infirmière étouffa un gémissement de terreur et s'assit alors que ses jambes flageolantes peinaient à la porter.

-"Putain...enculé...et tu me dis ça juste avant que je lui porte ses médicaments....T'es vraiment un enfoiré!!!"

Soyez indulgent^^
Je l'ai écrite sur le moment, comme ça venait, directement sur le forum^^

ben c'est pas mal du tout ^^...

Whou hou...! Uniki, j'suis fan^^ ! C'est Gé-nial !
Hé hé... la suite le mois prochain, peut être ?

Sympa en effet unki ^^
J'espère qu'il y aura une suite

^^Je vous remercie pour vos avis positifs
Je ne pense pas qu'il y aura de suite. Déjà parce que le récit se fini correctement et qu'il se suffit à lui-même. Mais aussi parce que j'ai déjà bien galéré pour trouver une idée un peu "original" pour traiter le syndrôme de Reinfield....que j'ai couplé avec une petite schyzophrénie paranoïde pour la beauté du geste^^

Tant pis *soupir théâtral*

Que ne doit-on pas faire pour faire plaisir au sieur unkichi!

Lord Sayannel a écrit:

Tant pis *soupir théâtral*

Que ne doit-on pas faire pour faire plaisir au sieur unkichi!

Tu es sur la bonne voie....descend un peu plus bas...encore...maintenant défait les boutons....

Excusez-moi, seigneur, mais je viens de me rappeller que j'avais une tarte tatin sur le four. je dois aller m'en occuper immédiatement! *se carapate le plus vite possible*

la feinte j'adore !! ptdr